De Bleu, De Blanc, De Rouge – Les peintures françaises du XIXe siècle du MAH

De Bleu, De Blanc, De Rouge- Musée d’art et d’histoire, photo : B. Jacot-Descombes

Le Musée d’art et d’histoire (MAH) présente une nouvelle exposition « De bleu, de blanc et de rouge », fruit de trois ans de recherche et de collaboration avec l’Université de Genève. Lancé en 2020, ce programme de valorisation des peintures françaises du Xlxe siècle (1800-1918) comprend d’une part l’étude complète d’un corpus de 212 tableaux, concrétisée par la publication d’un catalogue, et d’autre part une campagne de conditionnement de l’ensemble du fonds, la restauration fondamentale de 35 peintures et leurs encadrements, ainsi que de 3 sculptures.

«Nous sommes ravis que les résultats des séminaires menés conjointement avec le MAH et nos études puissent aboutir non seulement à une exposition temporaire au sein du musée ainsi qu’à la publication d’un catalogue. Mais également qu’elle puisse retracer l’historique de ces œuvres et mettre en avant l’importance des recherches liées à l’histoire de l’art et aux coulisses des métiers du musée », commente Frédéric Elsig, Professeur ordinaire d’histoire de l’art et de muséologie à l’Université de Genève.

  • François-Xavier Fabre (1766-1837), Mort de Socrate, 1801-1802 © MAH, photo : B. Jacot-Descombes
  • Jean-Baptiste Camille Corot (1796-1875), Nymphe couchée à la campagne ou Le Repos, vers 1857-1859 © MAH, photo : F. Bevilacqua
  • Alfred Sisley (1839-1899), Le Barrage du Loing à Saint-Mammès, 1885 © MAH, photo : F. Bevilacqua
  • De Bleu, De Blanc, De Rouge- Musée d'art et d'histoire, photo : B. Jacot-Descombes
  • De Bleu, De Blanc, De Rouge- Musée d'art et d'histoire, photo : B. Jacot-Descombes
  • De Bleu, De Blanc, De Rouge- Musée d'art et d'histoire, photo : B. Jacot-Descombes

Cette exposition temporaire vise à faire connaître au public non seulement un pan important des collections du MAH, mais aussi les enjeux propres à un projet de valorisation patrimoniale. Elle est présentée dans plusieurs espaces du parcours Beaux-Arts. Dans la dernière salle, elle aborde, d’une part, la manière dont se constitue l’ensemble des peintures françaises du XI xe siècle, en le replaçant dans une histoire des collections et du goût et, d’autre part, certains aspects propres au métier du peintre (atelier, couleurs et outillage, instruments techniques et optiques, matériel pour le plein air). Dans trois cabinets, elle donne à voir (jusqu’au 26 mai) les questions de recherche et les choix de conservation-restauration. Par ailleurs, dans les salles de la collection permanente, quelques tableaux du corpus sont mis en évidence et complétés par un important tableau (La Terrasse de Méric par Frédéric Bazille) que prête le Petit Palais de Genève et un pastel (Femme au bord de la mer par Edouard Manet) d’une collection particulière genevoise qui mettent en évidence la complémentarité nécessaire entre un musée patrimonial et les collections privées.

La publication d’un catalogue raisonné des 212 peintures françaises du XI xe siècle, conservées au MAH, participe à la mission fondamentale d’étude et de conservation-restauration du musée. «La recherche scientifique, la traçabilité, les questions de statut et d’identité ou encore la mise en place de programme de suivi et de conservation matérielle-des collections par l’établissement de diagnostic sur l’état des œuvres ou leur place dans la collection, sont des éléments fondamentaux pour le patrimoine du MAH », ajoute Victor Lopes, conservateur-restaurateur de peinture au MAH.

Cette collaboration entre l’Université de Genève et le MAH a mobilisé de plus de 60 chercheurs et 40 étudiants sur trois ans (2020-2023). Elle soutient la vocation de transmission des savoirs du musée et permet une étude plus approfondie de l’évolution des techniques de traitement tout en répondant aux demandes de formation continue essentielle dans le domaine de la conservation-restauration pour la «mémoire des collections ».

Commissariat MAH – Université de GenèveCatalogue :De bleu, de blanc et de rouge.
Catalogue des peintures françaises du XIXe siècle (1800-1918), Genève, Musée d’art et d’histoire

De Bleu, De Blanc, De Rouge
Les Peintures Françaises du XIXe siècle du MAH
16 MARS – 4 septembre 2024
Musée d’art et d’histoire.
Genève

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Elmgreen & Dragset, un duo qui ne fait qu’un

Elmgreen & Dragset, How to Become A Bird, 2024. Photo J.M. © Elmgreen & Dragset

La première exposition d’Elmgreen & Dragset à Genève marque une étape significative après leur récente présentation au Centre Pompidou-Metz. Avec de nouvelles œuvres inspirées par la proximité du lac Léman, Lire la suite ›

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Trois artistes des Amériques questionnent les dynamiques de pouvoir et de mémoire au Centre d’art contemporain

Steffani Jemison, In Succession (Means), 2024. Performed by Nimia Gracious, Loren Tschannen and Steffani Jemison at Centre d’Art Contemporain Genève, June 7-8, 2024. Photo : Zoé Aubry

En rassemblant les travaux de Jota Mombaça, Steffani Jemison et Julieta Hanono, le Centre d’art contemporain crée un espace de dialogue où les histoires et les expériences se croisent, se confrontent et se réinventent. Lire la suite ›

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Avec Art Basel Shop la foire d’art bâloise lance ses produits dérivés

Agnes Denes, Honouring Wheatfield – A Confrontation (2024), Messeplatz. Toutes les photos : Artbasel.

Après une semaine de ventes que l’organisateur a décrit comme solides dans tous les secteurs du marché, l’édition 2024 d’Art Basel, forte de 285 galeries provenant de 40 pays et territoires, s’est terminée le dimanche 16 juin. L’événement aura attiré 91 000 visiteurs pendant ses journées VIP et publiques. Lire la suite ›

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Quand les surréalistes s’intéressaient à l’autoportrait pour explorer l’inconscient

Hans Bellmer (1902-1975), Autoportrait, 1955. Photos : Varenne art moderne & contemporain.

À l’occasion du 100e anniversaire de la publication du Manifeste surréaliste d’André Breton, Olivier Varenne art moderne & contemporain explore, dans une exposition en collaboration avec Jean-Hubert Martin, ce qui s’est produit lorsque les surréalistes ont tourné leur regard vers eux-mêmes. Lire la suite ›

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Prix suisses d’art et de design 2024 : les lauréates et lauréats ont été désignés

Lou Masduraud Self-portrait as a fountain of you (identity crisis), 2024. (Détail)

L’Office fédéral de la culture a désigné les lauréates et lauréats des Prix suisses d’art et de design. Ils seront honorés ce 10 juin lors de deux cérémonies se tenant dans le cadre d’Art Basel. Lire la suite ›

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Six expositions de talents de la scène suisse émergente

Gina Proenza, “Patron/Partner”, 2022 Enseigne lumineuse, adhésif. © Gina Proenza. Photo : Tristan Lavoyer

Les six artistes lauréats du prix Culturel Manor 2024 oeuvrent dabs des domaines aussi variés que la peinture, la sculpture, la photographie, l’art vidéo, la performance et les installations. Lire la suite ›

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Une vaste allégorie de la Suisse à la Biennale de Venise

Guerreiro do Oivino Amor, Aevuma, Le Miracle d’Helvetia, détail. Photo: © Samuele Cherubini

Le Pavillon suisse de la 60· Exposition internationale d’art – La Biennale di Venezia, mandatée par la Fondation suisse pour la culture Pro Helvetia, présente l’exposition Super Superior Civilizations de l’artiste helvético-brésilien Guerreiro do Divino Amor, curatée par Andrea Bellini. Lire la suite ›

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La Biennale de l’Image en Mouvement 2024 évolue entre l’invisible et l’inconnu

Sahej Rahal, « Distributed Mind Test » (2023). Jeu vidéo, sculpture in situ, dessins, installation, son.

Intitulée A Cosmic Movie Camera, la 18e édition de la Biennale développe un discours en constante élaboration consacré à l’image en mouvement sous toutes ses formes, en particulier à l’ère des algorithmes. Lire la suite ›

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La fascination des artistes pour le cosmos et l’infiniment petit

Richard Pousette-Dart, Imploding Black, 1985-86. © Richard Pousette-Dart, ARS, NY.

L’exposition Inner Cosmos, Outer Universe, en cours à la galerie Pace à Genève, rassemble les œuvres d’artistes “maison” qui ont pour point commun la fascination pour l’espace. Lire la suite ›

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Le Dialogue culturel national adopte des recommandations en matière de rémunération des artistes

Nina Paim © Mie Brinkmann

Le Dialogue culturel national adopte des recommandations et des bonnes pratiques communes en matière de rémunération des artiste. Lire la suite ›

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Anne-Julie Raccoursier et Pauline Julier en dialogue avec Ella Maillart

Pauline Julier (*1981) La Disparition des Aïtus, 2014-2023 Installation vidéo multi-canal, son stéréo © Pauline Julier

L’exposition au Musée Rath confronte les visions d’Ella Maillart, Anne-Julie Raccoursier et Pauline Julier, et permet au visiteur de revenir à soi tout en s’ouvrant à un monde contemporain, complexe et fragile.

L’exposition propose un dialogue intergénérationnel qui transcende les simples hommages nostalgiques. Aux côtés de la voyageuse genevoise Ella Maillart, les œuvres des vidéastes et plasticiennes Anne-Julie Raccoursier et Pauline Julier viennent enrichir cette réflexion. Ces deux artistes, en confrontant leur langage artistique aux usages documentaires, explorent des voies qui interrogent la réalité contemporaine.

  • Anonyme, Longue descente dans les Monts Célestes, Kirghizistan, 1932. © Succession Ella Maillart et Photo Elysée, Lausanne
  • Ella Maillart, Un groupe de touristes guidé par Ella Maillart au Garden Temple à Orissa, Inde, (1955?) © Succession Ella Maillart et Photo Elysée, Lausanne
  • Ella Maillart, Au bord de l’Issik Koul, vingt fois la superficie du Léman, Kirghizistan, 1932. © Succession Ella Maillart et Photo Elysée, Lausanne

Souvent considérée comme une voyageuse solitaire, la personnalité d’Ella Maillart se révèle, dans les faits, plus riche et complexe. Journaliste, conférencière, écrivaine et guide, la Genevoise quitte dès les années 1930 une Europe encore marquée par la Première Guerre mondiale, et part à la découverte de l’Asie. Au fil de ses voyages, elle apprend à apprécier les ressemblances entre les peuples et non leurs différences. Fruit d’une quête à la fois physique et spirituelle menée dans les années 1940, lors d’un long séjour en Inde, cette « unité du monde » qu’elle défend dans ses ouvrages, apparaît également dans ses archives.

  • Anne-Julie Raccoursier (*1974) Sit-In, 2014 Videostill. © Anne-Julie Raccoursier
  • Anne-Julie Raccoursier (*1974) Sit-In, 2014 Videostill. © Anne-Julie Raccoursier

Anne-Julie Raccoursier, née en 1974, se distingue par son approche critique des représentations culturelles et des mécanismes de pouvoir. À travers ses installations vidéo et ses performances, elle interroge les normes sociales et la manipulation médiatique. Son travail, souvent empreint d’une ironie mordante, déstabilise le spectateur et l’amène à remettre en question ses certitudes. Dans le cadre de l’exposition, Anne-Julie Raccoursier crée un lien subtil avec l’œuvre de Maillart, abordant le voyage non pas comme une évasion, mais comme une confrontation avec les réalités politiques et sociales de notre époque.

  • Pauline Julier (*1981) La Disparition des Aïtus, 2014-2023 Installation vidéo multi-canal, son stéréo © Pauline Julier

Pauline Julier, née en 1981, explore les relations entre nature, technologie et société dans ses films et installations. Fascinée par les mythes et récits qui façonnent notre compréhension du monde, Julier questionne la frontière entre réalité et fiction. Son travail évoque les transformations écologiques et les bouleversements environnementaux, thèmes chers à Ella Maillart, qui, dans ses écrits, appelait déjà à une prise de conscience face aux ravages causés par l’homme sur la nature. À travers ses œuvres, Julier invite le public à contempler la fragilité du monde moderne et à envisager de nouvelles façons d’habiter la planète.

  • Anne-Julie Raccoursier et Pauline Julier en dialogue avec Ella Maillart
  • Anne-Julie Raccoursier et Pauline Julier en dialogue avec Ella Maillart
  • Anne-Julie Raccoursier et Pauline Julier en dialogue avec Ella Maillart

En somme, le Musée Rath propose une expérience artistique riche et stimulante, où les récits personnels et les questionnements universels se rencontrent pour offrir une réflexion sur des thématiques on ne peut plus actuelles.

 

L’exposition est le fruit d’une collaboration avec Photo Elysée Lausanne et l’Association Les Amis d’Ella Maillart.

Jacques Magnol

Ella Maillart, Anne-Julie Raccoursier et Pauline Julier
7 Décembre 2023 – 21 Avril 2024
Musée Rath
Place de neuve
Genève

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Commissariat participatif, au MAMCO les visiteurs vont sélectionner les œuvres d’une prochaine exposition

Vous souhaitez revoir une installation marquante ou ranimer le souvenir d’une exposition particulière, avoir la possibilité de retrouver votre œuvre préférée ou ré-évaluer votre appréciation d’une démarche d’artiste, faites-le savoir au MAMCO. Tout élément Lire la suite ›

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Nouvelles expositions dans les lieux culturels genevois

Centre d’art contemporain : Biennale de l’Image en Mouvement

Biennale de l’image en mouvement. Cosmic Camera. Image & graphisme : Robert Huber.

Pour cette nouvelle édition, les curateur·ice·s Nora N. Khan et Andrea Bellini ont commissionné de nouvelles œuvres à une quinzaine d’artistes – Basel Abbas & Ruanne Abou-Rahme, Alfatih, American Artist, Danielle Brathwaite-Shirley, Sheila Chukwulozie, Formafantasma, Aziz Hazara, Interspecifics, Lawrence Lek, Shuang Li, Diego Marcon, Lauren Lee McCarthy, Sahej Rahal, Jenna Sutela, et Emmanuel Van der Auwera.
Intitulée A Cosmic Movie Camera, la 18e édition de la Biennale développera un discours en constante élaboration consacré à l’image en mouvement sous toutes ses formes, en particulier à l’ère des algorithmes.

Centre d’art contemporain Genève. 24 janvier au 16 mai 2024.
Rue des Vieux-Grenadiers 10.

 

Anne-Julie Raccoursier.

 

Musée d’art et d’histoire. L’ordre des choses: carte blanche à Wim Delvoye

L’artiste plasticien propose une expérience artistique et esthétique inédite et une exploration profonde de notre relation à l’art et aux objets qui nous entourent.
Pas de parcours imposé ici. Le public est invité à s’immerger dans un foisonnement joyeux et ludique d’objets, de références et d’interventions proposé par l’artiste au nom de ce qu’il appelle lui-même un « vandalisme élégant ».

Musée d’art et d’histoire. 26 janvier au 16 juin 2024.
Rue Charles-Galland. Genève.

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Festival d’événements dans les lieux culturels genevois du 18 au 1er février

Galerie Wilde – Omar Ba, Engrenages. Photo Eric Bergoend.

Une multitude d’expositions tant dans les institutions que dans les galeries dès le 18 janvier. Principale nouveauté du côté des galeries : Wilde abandonne la rue du Vieux-Billard pour un nouveau lieu suffisamment vaste pour abriter deux salles d’exposition, showroom, petite librairie et un café-restaurant sur le boulevard George-Favon. Lire la suite ›

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artgenève 2024 sous le charme de Thomas Huber

Thomas Huber 3.5.2023, 2023. Huile sur toile 180 x 330 cm. Galerie Skopia. Photo Jacques Magnol.

Art Genève 2024 a fermé ses portes, le gros des visiteurs ne sont de fait pas des acheteurs et parmi eux certains fréquentent peu les musées ou les expositions. Ils viennent ici voir ce que d’autres achètent, Lire la suite ›

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En 2024, artgenève reprend son rythme de croisière

Un public jeune arpente les allées d’artgenève 2024. Photo J.M.

Pour sa 12ème édition, le salon réunit 80 galeries, dont 70% venues de l’étranger. Oubliés les tracas du Covid-19, oubliées les dérives de l’ancienne direction pourtant médiatisées localement à l’excès quelque jours avant l’ouverture. C’est une foire d’art et seules comptent les affaires Lire la suite ›

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L’exposition “Oh dear feelings” explore les dialogues entre l’humain et le soin

“Oh dear feelings”, de g. à dr. : Georg Baselitz, Sabrina Röthlisberger Belkacem. Photo: J.M.

Dans le cadre de son cycle de programmation 2023 – HUMAIN(S), HiFlow choisit de questionner notre rapport aux soins et invite les commissaires d’exposition Séverine Cattin et Sara Petrucci à concevoir une exposition collective d’art contemporain, Lire la suite ›

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La psychiatre, l’activiste politique et les otages

Braquage. Théâtre du Grütli. Photo Andrea Marioni

Sous le regard silencieux, et pour cause ce n’est qu’un masque et une blouse blanche, d’une psychiatre, Andrea Marioni se met en scène dans un personnage désireux d’action politique et enfermé dans sa folie :  Lire la suite ›

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Les Prix Manor d’art contemporain 2024 des cantons d’Argovie et du Valais sont désignés

Les artistes lauréats du Prix Culturel Manor 2024 des cantons d’Argovie et du Valais sont désormais connu-e-s : il s’agit respectivement d’Ishita Chakraborty et de Raphael Stucky. Lire la suite ›

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