Gisèle Vienne. Signé Gisèle Vienne, This is how you will disappear confronte trois figures archétypales
Gisèle Vienne. Signé Gisèle Vienne, This is how you will disappear confronte trois figures archétypales
« The Pyre » de Gisèle Vienne. Photos Herve Veronese Centre Pompidou. Sur la photo Anja Röttgerkamp. Les pièces et créations de Gisèle Vienne sont traversées d’une violence sourde jouant sur le suggéré et l’indicible.
“Tauberbach” d’Alain Platel, photos Chris van der Burght. Pour Tauberbach, les corps imaginés par Alain Platel, tout en contorsions et sinuosités, conjuguent l’évocation transposée d’une réalité dramatique à la musique de Bach chantée par des sourds.
Breivik’s Statement de Milo Rau. L’extrémiste et tueur de masse Anders Breivik, et son discours « justifiant » à ses yeux ses actes barbares et mortifères, le parcours d’un djihadiste européen, les liens problématiques au père et les voix du génocide rwandais, autant…
La Ribot, Juan Loriente, Juan Domínguez, – El Triunfo de La Libertad – Quand l’anti-théâtre provoque l’extase du théâtre.
© Wongebergmann Conçue, écrite et montée par Jan Lauwers, Place du marché 76 réunit au fil de quatre saisons vivaldiennes jusque dans leur sensibilité plastique et musicale aux paysages, une suite de tableaux autour de la saga d’une bourgade sous…
Protokids, Gilles Jobin. © Gilles Jobin. Lundi 9 septembre, le projet exceptionnel réalisé pour les jeunes danseuses de la cie Virevolte par Cindy Van Acker et Gilles Jobin: Liniaal et Protokids, est à ne pas rater à La Bâtie.
“Conte d’amour”, Markus Öhrn. © Robin Junicke. Au fil de trois heures de performance scénique parfois éprouvante, Conte d’amour, découvert au Festival d’Avignon en 2012 et présenté à La Bâtie, narre la séquestration par un père dérangé, infantile et tortionnaire…
Anders Clarsson comédien performeur et dramaturge dans “Conte d’amour”, un conte d’amour revu par Markus Ohrn, photo Markus Ohrn. Entretien avec Anders Carlsson (dramaturge et comédien) et Markus Öhrn (vidéaste, plasticien et metteur en scène).
“The Pyre”, Gisèle Vienne. © Maarten Vanden Abeele. Le corps d’expérience d’Anja Rottgerkamp dans The Pyre de Gisèle Vienne.
“The Pyre” de Gisèle Vienne. Photos Herve Veronese Centre Pompidou. Sur la photo Anja Röttgerkamp. « Ce n’est pas en pleine lumière, c’est au bord de l’ombre que le rayon en se diffractant, nous confie ses secrets », écrit le philosophe français…
Bâtie 09. Entre apparition et disparition des corps, la chorégraphe Cindy Van Acker invente deux opus hypnotiques. Dans leur façon singulière de rendre au spectateur un monde de sensations, les solos « Obtus » et « Nixe » voient…