Pour Caillou, joué au Théâtre de la Traverse, Myriam Boucris a reconstitué le lieu de vie d’un marginal en butte aux incessantes vexations de jeunes aussi défavorisés que lui. La pièce ne cache pas la violence crue qui règne dans…
Pour Caillou, joué au Théâtre de la Traverse, Myriam Boucris a reconstitué le lieu de vie d’un marginal en butte aux incessantes vexations de jeunes aussi défavorisés que lui. La pièce ne cache pas la violence crue qui règne dans…
L’outil d’émancipation humaine qu’est l’éducation politique est maintenant refusé aux jeunes par les différents systèmes pédagogiques. Il revient cependant par d’autres voies, et certaines passent par le théâtre, comme celui de Serge Boulier.
Jean-Charles Fontana, Marie-Claire Roulin, Jane Friedrich ©Dorothée Thébert Martine Paschoud signe une délicate mise en scène d’un texte sur la vieillesse, sujet tabou par excellence puisque même les vieux n’apprécient guère la compagnie de leurs contemporains. Il faut cependant composer,…
…ou comment un obscur duo new-yorkais redécouvert grâce aux antiquaires de l’histoire de la pop rayonne toujours autant 40 ans après…
 Doris Ittig, Claude Blanc, la marionnette : la petite fille aux allumettes , et Claude-Inga Barbey. © Cédric Vincensini Hans Christian Andersen est un vieil homme aigri. Bien que célèbre pour ses contes pour enfants, il a toujours rêvé d’une autre…
En déployant pour « Scanner« , sous-titré « Nous tournons en rond dans la nuit et nous sommes dévorés par le feu (hurlements en faveur de Guy Debord) », une scène constellée d’écrans avec moniteurs vidéo et fenêtres digitales multiples, le metteur en…
The Langley Schools Music Project, ou comment une chorale d’enfants canadiens a enregistré en 1976 le disque que j’aurais voulu faire quand j’étais petit …
Ou comment un cinéaste génial peut aussi être un musicien incroyablement précurseur…
L’équipe C’est au Japon que Roland Barthes a rencontré le travail du signe le plus proche de ses convictions et de ses fantasmes. Il en a rapporté L’Empire des signes qui est plus un livre sur « la ville, le théâtre,…
« Welcome », le dernier film de Philippe Lioret plonge dans sa caméra dans le quotidien de ces clandestins entassés sur les rivages de la Manche, refoulés par l’Angleterre et traqués incessamment par la police française, tout comme les bénévoles…
Rone est parfois surnommé le Harry Potter de l’électro … à raison.
© Graz Steirischerherbst/Manninger De nouveau, des femmes pleurent beaucoup à la Comedie. Cette fois c’est dans Hey Girl ! une mise en scène de Romeo Castellucci et sa compagnie « Socà¬etas Raffaello Sanzio » qui est déjà reconnue dans le milieu de…
En 1957 , les pontes de l’industrie du disques étaient sûrs d’une chose : Elvis et le rock’n’roll étaient déjà morts … le nouveau style musical qui allait tout révolutionner c’était …
C’est la figure mythologique, écartelée entre sauvagerie et apaisement d’Orphée que Joszef Trefeli aborde dans l’opus chorégraphique OOOrpheus à la Parfumerie.
Dans le cadre du 11e Festival Dansez, les nourritures terrestres sont des embrayeurs de mouvements et d’imaginaires menu d’Entremets, entremots mis en scène par Serge Noyelle. Propos de table ou invitation à se mettre littéralement à table pour le spectateur…
Ou comment une électronique racée et aérienne en provenance des Etats-Unis provoque une irrésistible envie d’avoir des ailes …
Parmi les plus fameux clichés, celui de la femme qui utilise l’arme des larmes est un des plus résistants. Ces larmes comme moyen de pallier à une certaine impuissance peuvent transformer la frustration en avantage dans l’utilisation de la force…
« Horace », mes de Gabriel Alvarez au Théâtre du Grütli, photo©Stephanie Raimondi Dans le cadre de la saison Heiner Müller au Grütli, le metteur en scène Gabriel Alvarez présente une nouvelle version d’Horace avant de s’attaquer à Anatomie Titus Fall of…
… ou comment une extraordinaire musicienne, munie de sa harpe et de ses rêves d’universalité, est partie à la conquête d’inconnues et lointaines galaxies …
© Régis Golay – FEDERAL Le Quartett de Heiner Muller, joué au Grütli, est une pièce étrange où deux vieux complices libertins se renvoient la politesse à coup de méchancetés froidement infligées dans un rapport, ambivalent, d’amour-haine et retour.