Tunis, Le Caire, Alger, la rue arabe se lève enfin et Pierre Haski la compare à la chute du mur de Berlin.
“Par centaines de milliers des jeunes enthousiastes citent Voltaire et Rousseau, lisent Stéphane Hessel, cherchent le chemin d’une révolution démocratique, sociale, juste. Et laïque.
Ils s’organisent pour demander du pain, du travail, de la sécurité, abattre ces satrapes que l’occident démocratique a tenus à bouts de bras des décennies durant.
L’occident se justifiait au nom de la civilisation, de la lutte contre l’antisémitisme, pour les droits des femmes et des homosexuels et menait sa sale guerre pour le pétrole, le gaz et pour encercler la Chine en présentant les musulmans comme des terroristes et des antisémites.
Rance Oskar Freysinger éructe et réclame une nouvelle loi raciste urgente.”
Karl Grünberg
fondateur de SOS-racisme Suisse
