Parking Zone, au Théâtre du Loup.

D’après Chroniques des jours entiers, des nuits entières de Xavier Durringer. Mise en scène de Rossella Riccaboni au Théâtre du Loup.
“J’ai rencontré l’amour, je suis tombée dessus par hasard. Il était là , tranquille, y savait pas. Je l’ai regardé et j’ai pensé, c’est le dernier instant, c’est sa dernière heure d’homme seul, ce soir, on sera deux. Y ressemblait pas du tout à  ce que j’avais imaginé avant, y ressemblait pas du tout à  un prince charmant ou d’autres conneries comme les mecs au cinéma, non y ressemblait plutôt à  â€¦ Rien.”
L’histoire se faufile, faisant émerger des scènes de couples, de solitaires ou de bandes selon un fil ténu comme le souffle de la vie. Un regard lucide et poétique sur le monde, une belle compréhension de tous les états d’âme par lesquels il faut passer pour grandir, une langue percutante, contrastée, voilà  ce qui touche chez cet auteur et qui correspond parfaitement aux 11 adolescents qui interprètent Parking Zone.
Invitée : Rossella Riccaboni

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