Aldjia, la femme divisée, de Jacques Probst, une mise en scène de François Rochaix au Théâtre de Carouge.
« Aux premiers jours du joli mois de mai 2004 j’écrivais pour la comédienne Laurence Montandon un monologue inspiré de l’histoire de la femme du Lévite, cette femme que le « Livre des Juges » de l’Ancien Testament nous dit avoir été violée dans la ville de Guibaa par une bande de vauriens, ne laissant derrière eux que son cadavre, découpé par le mari de cette femme en douze morceaux. La Bible la laisse sans nom, sans une parole. Je la nommerais Aldjia, mon monologue serait sa parole… » C’est ainsi que Jacques Probst introduit « Aldjia, la femme divisée », l’un de ses textes les plus forts et les plus émouvants. « Aldjia, la femme divisée » est publiée aux Editions Zoé et les « Huit monologues » le sont aux Éditions Campiche.
Invité : Jacques Probst
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24:32.