Le 13 novembre 2007, lors d’une conférence au Club de la presse, le Président de Radio Cité, Bernard Boulens a annoncé la reprise de la radio par Madame De Witt, présidente de la Foire de Genève, qui a déclaré vouloir désormais consacrer sa vie à ce média local. Sans expérience de la gestion de médias, la nouvelle directrice entend attirer des auditeurs avec des “talk-show” et des émissions tenues par des “grosses pointures” venues de Paris et des stars de la Radio Suisse Romande. Bernard Boulens a tenté d’expliquer comment Radio Cité était reprise comme une société commerciale, tout en restant une association.
Par contre, elle n’a apporté aucune réponse, hors un étrange énervement, aux questions posées par les rares journalistes présents à propos de son apport financier à cette radio exsangue. Un louvoiement de mauvais augure.
Conséquences de l'”acquisition” de Radio Cité par la Fondation des Chênes
Commentaire
L’arrivée de Mme De Witt clôt la désatreuse période d’intérim de Gérald Sapey qui s’était engagé dès le décès de Jean-Claude Genecand, en 2006, dans une opération de destruction du caractère associatif de la radio et son caractère non formaté aux exigences commerciales.
Que la première tâche de M. Sapey aît été de proposer aux autres médias locaux (notamment Léman bleu) de “racheter” la radio aoociative montre le peu de confiance qu’il avait en son avenir. Pourquoi dans ce cas avoir organisé une campagne fictive de recherche d’un nouveau directeur en 2006 alors qu’il s’était attribué le poste moyennant rétribution ? Etait-ce pour porter le coup de grâce à Radio Cité et permettre à un partenaire de l’enlever à bon prix ? La question mériterait d’être approfondie car l’atout de Radio Cité c’est le flot de subventions (de l’OFCOM à plus de 203 titres selon l’ancien directeur, des salaires d’animateurs réglés par d’autres associations – ainsi l’association Avant’âge qui a aussi celui, et certainement par hasard, d’être géré par le même trésorier R. Schneider, un apport continu de dons, etc.). La production étant réalisée par un groupe important de bénévoles, J.-C. Genecand annonçait au moins 200 collaborateurs, Radio Cité est un gros fromage pour un petit comité, l’archétype de l’entreprise instrumentalisatrice des personnes en difficulté.
Dans le détail, la dame entame sa nouvelle vie sur un gros mensonge : tous les salaires ne sont pas payés, ni les engagements respectés car des employés doivent encore passer par la case Prud’hommes. Mensonge ou méconnaissance de la situation ?
A suivre…
Quelle importance que Radio Cité aie changé de mains!
De toute façon à part quelques cathos qui s’intéressaient de temps à autre personne n’écoute cette radio.
M.Décaillet féru de théologie et d’histoire de France ce qui n’intéresse guère les genevois, pense relever le taux d’écoute, mais qui écoutera son monologue entre 07oo et 0800?
Par contre personnellement je préfère son émission sur Léman Bleu.
Quoique très souvent,il oublie de laisser la parole à ses invités.
M. Décaillet a peut-être manqué sa vocation, car il aurait fait un excellent jésuite /Societas jesu) ceci bien sûr ,avant 1874.
Bonne chance tout de même.
@charvet
-Vous dites “personne n’écoute cette radio”
comment peut tu en etre si sur ?
(sitez nous vos sources(si vous en avez!))
-Vous dite encore :”M.Décaillet féru de théologie et d’histoire de France ce qui n’intéresse guère les genevois”
Comment pouvez vous etre si sur de vous…
La mégalomaninie semble frapper a votre porte… faites attention !!!
Ce que pense M. charvet ne reflete pas forcement la pensée generale ni même une pensée moyenne.
Pour ce qui est des taux d’audiences seul les resultats de “telecontrol” pour la Sisse ou “mediametrie” pour la France peuvent etres considérés comme fiables….
En somme le “post” de M. Charvet n’est qu’un peu de venin deversé sur une radio qui lui déplait (peut etre a-t-il ses raisons mais qu’il soit plus clair)et qui n’apporte rien a personne.
Yan : un (tres)ancien benevole de radio-cité