L’image d’une Genève internationale attire les étudiants étrangers vers son université.

photo de groupe

Lors de l’introduction de l’enseignement de l’anglais dit “précoce” dès la troisième primaire dans les écoles alémaniques, une publication des écoles privées posait la question “”Pourquoi le français et non pas l’anglais ? Actuellement l’anglais est la première langue mondiale. ” Le 21 juin 2007, le débat a rendu la priorité aux langues nationales en acceptant la nouvelle loi sur les langues, l’apprentissage d’une langue nationale se fera donc dorénavant avant l’anglais.
Pour une multitude d’étudiants étrangers la question ne se pose pas, ils ont choisi d’étudier le français et pour cela de venir en Suisse et notamment à  Genève pour assister aux Cours d’été de son université. A cette occasion ce sont plus de cent nationalités différentes qui se côtoient, et selon les déclarations des élèves, l’image d’une Genève internationale a influencé leur choix. L’Université bénéficie de l’image d’une ville qui est à  la fois la capitale d’une région, une ville internationale et une petite cité tranquille et sûre.
Rencontre avec Catherine Blons-Pierre, responsable du programme, les professeurs Yvonne Borloz et Massimo Patanè, ainsi que des étudiants.

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