Crier aux allouilles

Le joyeux et anarchique charivari d’une bande de joyeux lurons (et luronnes ) avinés, sous les fenêtres d’un couple jeune marié du jour, est aujourd’hui remplacé par le triste et quotidien boum-boum-boum émanant de bagnoles ” customisées”. A Genève jusqu’en 1957, au lieu de s’enfermer dans les ultra-basses fréquences des hauts-parleurs, on sortait encore pour aller ” crier aux allouilles “. Les allouilles ?

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